samedi 31 janvier 2009

Edward Scissorhands

(j'ai un peu retouché l'article parce qu'il était incompréhensible, et j'en ai profité pour supprimer quelques fautes d'orthographe xD)

Je poste un petit article sur le cinéma, sinon vous risquez d'oublier que c'est ma passion première ;-)


Et aujourd'hui je veux parler d'un film dont on ne parle pas souvent - parce que ceux qui ont assez de savoir en cinéma pour l'apprécier pleinement sont trop snobs pour le faire, et que les autres n'ont rien à en dire (même s'ils y sont sensible).


Ce film s'appelle Edward Scissorhands, ou Edouard aux mains d'argent pour ceux qui osent l'hérésie de le regarder en français. Déjà, c'est un film de Tim Burton, ce qui ne facilite pas les choses (ça ne fait pas sérieux de parler de Tim Burton, il est trop populaire).


Même si je dois avouer que, en règle générale, les fans de Burton m'agacent énormément, on ne peut pas nier que c'est un cinéaste qui a développé sa propre esthétique, sa propre vision du cinéma, et qui est juste absolument génial, pour faire simple.


Bref.


Quelques petites « règles » avant de commencer:


1/ ne jamais rien croire ni même LIRE ce qui est dit de Tim Burton sur le net. J'ai débuté comme ça, et après plus de recherches je me suis rendu compte que c'était un gros tas de merde. Vraiment... généralement j'évite les fansites parce que ça peut me mettre en colère pour le reste de la journée!


2/ n'achetez AUCUN livre sur Tim Burton, vous perdez votre argent c'est du même topo, d'ailleurs les fansites s'inspirent souvent de ces bouses. En gros, c'est comme les fansites, sauf qu'en plus de perdre votre temps, vous payez pour perdre votre temps! Le seul livre que vous ayez le droit de lire, c'est Burton on Burton qui est un (super) recueil d'interviews de Tim Burton, avec ses dessins etc, et c'est pour moi la base de tout pour les fans. C'est un bon début, mais faut pas s'en tenir qu'à là, en gros.


3/ ne partez pas du principe que sous prétexte que quelqu'un connaît le cinéma, il comprend Tim Burton, parce que quand je lis certains magazines "reconnus" et que je vois ce qu'ils ont à dire de Burton, c'est un massacre ils passent toujours à côté de l'essentiel. Ma mère ne connait presque rien au cinéma, et c'est sûrement la spectatrice la plus réceptive que j'aie jamais vu vis à vis de ce film. Donc, voilà!

4/ ne vous fiez qu'à ce que Tim Burton dit et fait. C'est la règle la plus importante. Ecoutez les commentaires audios, recherchez ses interviews, et un truc cool aussi si vous pouvez le faire c'est essayer de copier ses dessins (pas au calque hin, comme ça). Parce que j'ai remarqué que quand on apprend à dessiner comme quelqu'un, on comprend bien mieux ce quelqu'un.


Autre petit conseil si vous êtes très motivé, notez tous les noms de films et de livres et de peintres cités par Tim Burton (même quand il dit que c'est de la merde) et essayez de les voir dans des médiathèques ou achetez les. J'ai une vidéothèque de près de 300 films qui vient uniquement de là, donc vous avez de quoi faire. C'est le meilleur moyen le comprendre, en rentrant dans sa tête et dans son état d'esprit. Parfois, les recherches sont infructueuses (comme pour Edgar Allan Poe, où je n'ai jamais vu en quoi Poe avait influencé Burton), mais parfois aussi on découvre des perles rares.


Bon passons au film.


Pour comprendre Edward Scissorhands, il faut comprendre certaines choses sur Tim Burton. Je vais faire un bref résumé de ce qui à mon avis fait que Tim Burton est Tim Burton – l'essence.


Ici je dirai souvent que telle scène tourne autour d'une « image »: je ne parle pas d'UNE image en particulier mais des caractéristiques visuelles de la scène en général. Quand je parle « d'image » chez Tim Burton, je fais référence aux particularités visuelles d'une scène, et pas nécéssairement à une photographie.... Comme quand je pense à un acteur, je pense aux particularités de son jeu plus qu'à son portrait. C'est une pensée floue, indéfinie.


Un exemple: Batman Returns, le Pinguin sort de l'eau avec un liquide noir qui sort de sa bouche et de ses narines, puis il se déplace tant bien que mal vers l'un de ses parapluies piégés. Malheureusement pour lui il prend le seul parapluie qui n'est pas piégé, et il meure en prononçant des paroles incohérentes. Enfin, des pingouins viennent glisser sa dépouille dans l'eau des égoûts.


On dirait pas mais cette scène est très abstraite: quel est le liquide noir? Comment les pingouins peuvent déplacer un corps aussi lourd? A quoi SERT cette scènbe d'ailleurs, on aurait très bien pu croire que le Pinguin était mort et ne pas en rajouter, ça aurait collé!

Dans l'esprit de Tim Burton, l'important n'est pas vraiment la cohérence "logique" d'une scène mais sa cohérence visuelle: il aime juste l'image du Pinguin qui se déplace avec un liquide noir (quel qu'il soit!) qui lui coule de narines; il aime le fait que, symboliquement, les pingouins déposent leur "père adotpif" là où ils l'ont trouvé 30 ans auparavant. La dernière phrase du Pinguin "d'abord je veux boire un bon verre d'eau" est certes inutile, mais vraiment cool, sachant qu'il meure deux secondes plus tard et que nous savons très bien qu'il n'aura jamais l'occasion de boire un autre verre d'eau (ma phrase préférée dans tout le film est définitivement "Oh shit! I picked the cute one!").


On voit ça chez Lynch ou Fellini, en un peu différent mais y a des points communs: ce que l'on voit à l'écran n'est pas nécessairement ce qui se passe dans la réalité, mais une représentation abstraite - une interprétation de la réalité, comme le théatre dans l'antiquité qui était une représentation symbolique de la vie de tous les jours! 


Deuxième exemple tiré de Edward Scissorhands, la scène où Ed sculpte un ange dans la glace: où Ed a-t-il trouvé la glace, dans un bled paumé où il ne neige jamais? Peu importe, ce qui compte c'est que visuellement, cette scène est dit ce qu'elle a à dire. C'est une façon "abstraite"  de répondre à la curiosité de l'enfant qui, au début du film, demande à sa grand-mère d'où vient la neige.


Donc malgré les apparences, le cinéma de Burton est plutôt abstrait. Certains critiques se servent des questions précédentes ("où Ed a-t-il trouvé la glace" etc) pour dénigrer son cinéma, mais pour moi c'est la beauté de Burton justement, et si il y avait une justification "logique" à ces scènes elles auraient moins d'intérêt. C'est la beauté du cinéma burtonnien, de nous raconter son histoire, de dire quelque chose, uniquement par l'utilisation de symboles.


Si je raconte à quelqu'un le flashback où Vincent Price meure, il restera de marbre. Si il le voit, il sera vraiment marqué (une fois j'ai montré le film à un ami et il n'arrivait pas à dormir à cause de cette scène lol). On ne peut pas raconter un film de Burton, on ne peut que voir.


Un jour un critique a reproché aux films de Burton de n'être qu'une succession d'images, et Burton a répondu "et alors, c'est un film, pas un programme radio!" Eh bien tout en voulant critiquer, ce journaliste a saisi ce qui est l'essence du cinéma "burtonnien", selon moi.


Je pense que c'est surtout du au fait que Tim réfléchit en dessinant, tout le temps, tout le temps, tout le temps... et aussi au fait qu'il vient de l'animation. En animation on raisonne plus ou moins comme ça.


Pensez y en regardant des films comme Big Fish, ou Pee Wee's Big Adenture. Ces deux films sont bons pour découvrir parce qu'ils fonctionnent comme une succession d'épisodes. En quelque sorte. Et Big Fish est limite un petit cours sur le symbolisme.


On peut dire des tas de choses sur Tim Burton, mais ça c'est vraiment l'essentiel pour moi. Quand Tim Burton lit un script, il cherche les images qui l'intéressent en premier, il regarde le potentiel visuel du scénario.


Si un cinéaste lambda devait filmer une type qui rentre dans une voiture et qui sort du champs, il penserait: "qui est ce type, d'où il vient, où il va". Je ne suis pas Tim Burton, mais tel que je conçois les choses, il penserait plutôt: "pourquoi est ce qu'on veut voir ça? Pourquoi le public voudrait-il voir un type rentrer dans sa bagnole et sortir? Comment on va faire pour que cette scène ait un intérêt". Bien sûr, pour répondre à ces questions il est utile de savoir qui est le personnage, d'où il vient et où il va, mais je veux souligner là une différence d'approche: dans un cas il y a une logique narrative, et dans l'autre on a une logique "visuelle". Burton fait des scènes formidables avec un scénario vide. C'est pas le seul à le faire, mais il le fait avec un style bien à lui.


Et pour la petite anecdote, dans Planet of the Apes, un moment Thade devient fou et saute dans tous les sens, et j'ai toujours trouvé cette scène géniale... et dans une interview, Burton expliquait que sur le script il y avait juste écrit "Thade s'énerve". Et là je me dis "putain, il lit deux mots, et il te sort un truc comme ça"! Ca fout la rage un peu... *Orange s'énerve*


BREF.


Revenons en à Edward Scissorhands lol. Je ne parlerai que de la scène la plus importante du film, parce que sinon on va faire nuit blanche!


Edward rentre chez les Boggs, c'est le soir de Noël, et tout le monde le cherche dans la ville. Seule Kim est restée à la maison, elle échange quelques mots avec Ed puis lui demande de la prendre dans ses bras ("hold me"). Edward tente le coup, mais à cause de ses mains ciseaux il n'y parvient pas. Par une magouille indescriptible Kim parvient quand même à se glisser dans les bras de Edward, et on a le droit à un superbe flashback (avec Vincent Price, l'acteur favori de Tim Burton - et un de mes acteurs préféré aussi) qui nous ramène aux origines de Edward. Ce flashback confirme ce que la grand-mère raconte au début du film: l'inventeur est mort avant de finir Edward, sa création.


Je vous parle de cette scène en particulier pour deux raisons: d'abords, cette scène est le noyau du film. C'est l' « image » du film: un être, ni robot ni humain, qui doit garder ses émotions pour lui, qui ne peut rien extérioriser à cause de ses mains-ciseaux. Il veut sentir les choses. Il veut les toucher. Mais il ne peut pas. C'est cette image paraît-il très commune (d'après les mots de Tim) de quelqu'un qui n'arrive pas à communiquer, que l'on considère terrifiant mais qui ne l'est pas. Donc on retrouve un peu la notion d'image de tout à l'heure: une image autour de laquelle gravite tout un film.


L'autre raison, c'est que dans cette scène, il ne se passe rien (ni chez les Boggs, ni dans le flashback). Tout est dit - non, tout est suggéré - dans les yeux des acteurs (Johnny Depp, Winona Ryder et Vincent Price). Tout est suggéré par le rythme de la scène, par la gestuelle. Kim et Ed parlent, mais ils ne se disent rien, ils s'écoutent à peine, et le spectateur les écoute à peine, parce que ce dont ils parlent n'est pas le sujet de la scène. Cette scène est le meilleur exemple auquel je puisse penser, de tous les films de Tim Burton, qui illustre la puissance des images et l'importance accordée au côté sensitif du cinéma. Cette scène illustre parfaitement la narration chez Tim Burton: par la suggestion, par les symboles, par les images - et non par l'action. Et celui qui voit la scène avec ces yeux là en aura une compréhension très profonde! La scène s'enchaîne naturellement donc on s'en rend pas compte, mais tout est dans l'abstraction, c'est d'une finesse... c'est vraiment une scène magnifique, au delà de ce qu'elle raconte... c'est la façon dont elle est racontée qui est magnifique! Et il faut toujours penser à cette différence monstration/suggestion.


Voilà, la narration chez Tim Burton, je pense que les grandes lignes y sont... Ce que je dis là est applicable dans tous ses films quasiment.


Juste un mot sur la mort de l'inventeur, c'est que Edward Scissorhands est le dernier film de Vincent Price, et vu le rôle hautement symbolique de Vincent dans ce film, c'est vraiment une tombée de rideau incroyable. On ne peut pas rêver mieux comme dernière scène à l'écran: "Vincent Price et son successeur!" ou "Vincent laisse la place à sa création!"


J'ai cherché toutes les vidéos de youtube et dailymotion et j'ai pas trouvé mieux, c'est la scène "clé" dont je vous parlais mais y a pas l'enchaînement avec le flashback, c'est vraiment dommage... mettez le en plein écran, la qualité est merdique et c'est sous-titré en chinois mais bon... c'est mieux que rien!



Et finalement j'ai trouvé une autre vidéo, c'est une compilation des flashbacks du film, il y a celui dont je vous parlais à 03:36, donc regardez le xD



vendredi 30 janvier 2009

jeudi 29 janvier 2009

Les Désastreuses Aventures de Cyrielle Vincent: Épisode #2








































Je voulais poster l'épisode 3 avec mais il est tellement nul que je préfère le cacher dans un coffre fort.

mardi 27 janvier 2009

Bon anniversaire moi même...



Mon cadeau de 19 ans m'attendait sans que je le sache, chez moi depuis 8 mois dans un de mes recueil Batman: j'ai découvert, juste là genre vers 00:02, que j'avais dans ma collection le tout premier Batman avec Poison Ivy! Le tout tout premier! Ça claque quand même nan? Bon elle a un drôle de design, mais enfin voilà quoi! Ça déchire!

Apparement le Joker et Catwoman ont fait leur première apparition ensembles, j'ai les références du comic il faut absolument que je le trouve!

Et puisque je parle de Batman, achetez tous The Killing Joke d'Alan Moore parce que c'est tout simplement la meilleure BD qui ait été faite sur le Joker à ce jour, vraiment! Un bijou, je pleure quand je la lis!

Bref je garde le débat sur batman pour le 13 Fevrier et je me lance Batman Begins ;-)

samedi 24 janvier 2009

Les désastreuses aventures de Cyrielle Vincent

Amis lecteurs, l'heure est grave.

Suite aux assauts de plus de plus fréquents de notre ennemie jurée, Cyrielle Vincent (surtout N'ALLEZ PAS VOIR SON BLOG!!), Orange Corporation va lancer la production d'une série de dessins visant à ridiculiser son assaillante. Au cours de cette série, Cyrielle Vincent risque de connaître de funestes destins. C'est pourquoi nous l'appellerons "les désastreuses aventures de Cyrielle Vincent". Je vous souhaite une agréable lecture d'avance, nous nous mettons au travail dès à présent.

dimanche 18 janvier 2009

Captain Bang, Super Garbage et autres réjouissances


Captain Bang, mon nouveau projet pour un médium un peu différent cette fois çi, la bande dessinée.

Pour le moment ces dessins sont au placard, mais j'aurai l'occasion de les resortir un jour j'en suis sûr.


Captain Bang dans toute sa splendeur!

Mais au fait, QUI EST CAPTAIN BANG?
Captain Bang est un super héros en quête de quêtes! À tous les cambriolages, il est présent! Il défend les grand-mères mais aussi les chats! Il vole au dessus du monde sous l'éclat de la lune!

Quel est le super pouvoir de Bang? Il a des "poings bang" qui font "BANG" - ça sonne pourri comme pouvoir, mais si vous lisez beaucoup de comics vous verez que généralement, quand ça fait "bang", ça fait mal.

A la base, Captain Bang ne devait avoir ni bras ni jambes, mais pour des problèmes de copyright nous sommes restés plus modestes (on voudrait pas faire un Rayman 4).

Je suis pas très satisfait de la colo, mais vu qu'il faut plusieurs heures pour faire un dessin comme ça, on se contentera de cette version pour le moment.

J'ai fait une vidéo de 50 minutes sur la fabrication de ce dessin, je m'occuperai du découpage le week end prochain et je la publierai, pour que vous voyez comment le boss bosse (h) (rassurez vous, la vidéo finale durera une minute ou deux hin)

Post Scriptum: Captain Bang me fait penser à Christopher Lee dans la saga Dracula!


Super Garbage fait un pélerinage sur son lieu de naissance.

Mais au fait, QUI EST SUPER GARBAGE?
Super Garbage est un super méchant qui adore les ordures. Il est lui même composé d'ordures de toutes sortes (aspirateur, canettes, tomates pourries et autres réjouissances). Il se nourrit de tout ce que nous jetons par terre pour gagner en puissance! Donc si vous voulez aider Captain Bang, EVITEZ DE POLLUER!!

Super Garbage veut instorer un régime anti-écologique, dont l'ultime but serait de faire de notre planète un gigantesque dépotoire!! Dans son temps libre, Super Garbage fait les poubelles.

Je ferai une fiche sur ses super pouvoirs plus tard.

Souvenez vous: une canette peut tout changer!

Post Scriptum: ceci n'est PAS une bd écologique! (pas à la base en tout cas)


YOUHOU et là on passe à quelque chose de complètement différent, deux croquis pas encore coloriés pour mon animation stop mo, "le cirque des curiosités" (certains s'en rappellent, j'en suis sûr). Ces deux images proviennent du même conte... un conte sur un salon de coiffure pas comme les autres...



Voilà, c'est sûrement pas le premier épisode que je filmerai cependant, parce que vu les décors dont j'ai besoin pour le faire... Je m'en occuperai cet été!

Et j'en profite pour donner deux nouvelles; une bonne une mauvaise, je vais commencer par la mauvaise: ma prof principale à l'atelier a démissionné, hors c'était non seulement ma prof préférée mais aussi la seule à qui je pouvais parler de mon projet en stop motion, donc du coup:
1) l'ambiance à l'atelier est légèrement altérée;
2) je suis dans la nature avec mon projet.
Mais c'est pas grave, j'devrais m'en sortir quand même.

Et la "bonne" nouvelle, pour tout ceux qui détestent m'entendre dire que JE HAIS DISNEY, c'est que j'ai vu KUZKO il y a deux jours et que j'ai adoré! Voilà, notez ce jour!

samedi 17 janvier 2009

Les films que j'attend!

Une petite liste vite faite des films que j'attend le plus pour l'instant:

The Curious Case of Benjamin Button
The Imaginarium of Dr Parnassus
Synecdoche, New York
The Hobbit
Frankenweenie
9
Public Ennemies
Alice in Wonderland

Et Twilight, Largo Winch et The Spirit qui sont déjà en salle (je crains pour les trois, mais on verra), ainsi que Burn After Reading

Et, pour me rappeler d'aller les voir, la liste des films que je ne suis pas allé voir l'année dernière alors que j'en avais envie:

Martyr
Hellboy II: Golden Army
Roman Polanski: Wanted and Desired
Mesrine, l'ennemi public (partie 1)
Rebecca
Diary of the Dead

(j'en profite pour mettre des critiques que je viens de lire sur Saw 5 que je trouve hilarantes: " Pas aussi gore que le précédent, par contre toujours aussi nauséabond" mdr, et "le film s'achève comme il a commencé, c'est-à-dire n'importe comment, et laisse hélas la porte grande ouverte à une nouvelle suite"! J'aurais aimé voir ça lol!)

jeudi 15 janvier 2009

dimanche 11 janvier 2009

9, from producer Tim Burton

Sortie le 09/09/09




Pour une meilleure qualité, cliquez là!! (c'est un ordre!)

samedi 10 janvier 2009

Pour vous montrer comme je suis nul en couleur


Finalement je suis revenu à quelque chose de plus sobre, de plus moi lol... Bon, mon excuse c'est que j'ai fait ça à la souris... mais bon... c'est bien déprimant tout ça!


Vous êtes sérieux, là??

Regardez moi ces anglais!

Dead set : une série anglaise largement inspirée du film Rec. Une dizaine de candidats à une émission de télé-réalité sont enfermés dans une maison et filmés 24/24h, à la manière d'un Loft Story. Problème : la maison est infestée de zombies.


Bordel #2

Encore un gros bordel...

Pudge The Butcher, un héros dans DotA. C'est un mélange entre Frankenstein et le père de Kevin.


Un vampire...


Un de mes dessins les plus moches! C'est juste une esquisse pour une illustration que j'aimerais faire à l'aquarelle. J'aimerais faire ça soigneusement, en y passant du temps un peu. C'est une illustration pour Le Sacre du Printemps de Stravinski, une de mes pièces musicales favorite!


Des petits croquis pour une BD inachevée sur le thème de Noël


Ce que je fais en cours de morpho. Je l'ai appelé "hideux". Réfléchissez-y!


Jack tente d'expliquer Noël à ses concitoyens


Et pour finir, l'innocente Blanche Neige, perdue dans une forêt diabolique!

vendredi 9 janvier 2009

Deux de mes films préférés

Pee Wee's Big Adventure. J'ai dessiné ça dans une station service sur l'autoroute, parce que ça m'a rappelé la scène de Large Marge, où on a l'impression que les gens sont juste , assis sur leur chaise depuis toujours. C'était super bien observé, j'explose de rire rien que d'y penser! Un super film!



The Rocky Horror Picture Show. Un film super, vachement riche visuellement et complètement délirant. Au passage, je me suis toujours demandé si Frankie le travestie était une référence à Ed Wood...?

Riff Raff, le majordome...


...et la Time Warp Dance, une de mes scènes préférée dans le film!

Bordel

Un gros bordel. Je sais pas quoi en faire.


Une idée d'affiche pour The Invisible Man Returns!! avec Vincent Price


Un mélange entre Night of the Ghoul (l'image) et Plan 9 From Outer Space (paroles), deux films d'Ed Wood qui sont géniaux!

Mieux vaut cliquer si vous voulez y voir quelque chose. C'est une petite illustration sur l'histoire de Bernadette (vous savez, l'apparition divine dans la grotte, l'eau qui soigne, etc). J'aime quand mes dessins sont épurés comme ça. On comprend rien, mais j'adore.


Je l'ai appelé "Axe Trauma", parce qu'en ce moment je fais une obsession sur les personnages qui ont une hache dans le crâne. Je sais pas d'où ça vient.


Encore un Alien!!